Sujets : Agilité, organisation
10/10/2019
Par Arnaud Lemaire (LGO Group). Merci !
Là où il y a un lapin ou un canard on peut voir un canard ou un lapin.
Avant vs Après :
Finalement après 6 mois : remise en question de la vélocité, estimations, backlog refinement, synchronisation des stories ? Tout ça ce sont des symptômes de quelque chose, pas des causes. “More X to solve X”. Les tableaux agiles gigantesques ont-ils vraiment un sens ? Une utilité ? Où est Charlie (l’utilisateur) dans les schémas énormes ?
Quand on voit tous les articles écrits par les auteurs du manifeste agile sur les échecs de l’agile on est en droit de se poser des questions sur l’agilité. En soi l’entreprise n’a pas changé. L’intégrité structurelle est primordiale dans un système. Un système n’est pas seulement un code source mais aussi et surtout des humains.
Besoin d’une fondation de conception spécifique et difficile à maîtriser : refactoring (TDD notamment) et decoupling (être capable de retirer facilement une partie d’une application sans tout casser au moment de décommissionner).
A - B > 0 (peur de cette différence) avec A : le coût pour créer X et B : le coût réel pour produire X.
Le triangle de fer. Le scope = le temps * “les ressources”. La qualité est au cœur de ces 3 variables. Sans possibilité d’agir sur le scope on ne peut rien faire et donc faire de l’agile. C’est la seule composante sur laquelle on peut agir. Un produit non livré en production n’a pas de valeur. Faire de plus petites livraisons c’est éviter de se mentir. “La qualité d’aujourd’hui c’est la productivité de demain”.
Passer d’une approche de planification à priorisation : sinon pas agile. “On est tous dans le même bateau” : c’est pénible le “eux vs nous”. “Donnez nous de la confiance pas des babyfoots”.