Sujets : Software craftsmanship, qualité, clean code, tests
19/09/2019 - 12h45 - 13h45
Par Arthur Magne (Promyze). Merci !
C’est une pratique en pleine explosion, un mouvement qui pousse un état d’esprit.
Il y a une communauté vivante :
Elle se retrouve dans trois grands domaines : l’architecture, les tests et le clean code.
Il en existe différents types selon les besoins : unitaires, d’intégration, IHM… Arthur nous présente un graphique montrant la corrélation entre un nombre de tests élevé et un nombre de bugs faible. La couverture de code c’est bien mais attention à la pertinence du contenu des tests. Le tests de mutation permettent génération de mutants (Stryker pour JavaScript par exemple, ils existent aussi pour Java et d’autres langages). Le GitHub awesome-mutation-testing recense les frameworks de tests de mutation.
Il y a une corrélation entre le nombre de bugs et les code smells. La dette technique est détectée notamment avec SonarQube.
L’étude “Le coefficient développeur” de 2018 sur la qualité logicielle montre que les développeurs passent 42 % de leur temps à la maintenance. L’impact de la dette technique sur les développeurs est énorme : découragement, lenteur, perte de créativité, érosion des compétences… Pourquoi la dette augmente ? À cause de certaines règles, parfois de nouvelles technologies, des différences de niveaux dans l’équipe…
La tendance actuelle est à la réduction du risque, des coûts et à la valorisation de la qualité logicielle.
Attention à la poudre aux yeux :
Arthur travaille sur et avec la plate-forme collaborative Themis développée par sa société Promyze.